- Missions de la commission logistique : Diffusion d'informations vers l'extérieur (tractage, ”communication externe” en général…), rappel des actions décidées en AG et préparation de l'AG suivante. Pour l'instant, l'idée est que les AG se tiendront tous les vendredis à 18h, dans un lieu qu'on tâche de changer le plus possible. Les deux premières ont eu lieu à Lille 1, la troisième à Lille 2.
- 4 personnes se sont portées volontaires pour cette semaine : Elena, Florian, Thomas, François
- L'idée est que la composition de cette équipe change toutes les semaines.
- Mise sur pied d'une caisse de grève, notamment pour aider les précaires venant de loin à participer au collectif en remboursant leur frais de transport.
- Le 13 Avril, réunion en petit comité sur la place de la république. Elle a été l'occasion d'une séquence de partage d'expériences de précarité, au sens large. Peu de participants mais bon exercice, dans une logique d'autoformation.
- Le 20 Avril, soutien aux étudiants de Lille 1 organisant un barrage filtrant sur le campus en préparation de la manifestation le même jour.
- Le 22 avril, participation à “Science Debout” en lien avec Nuit Debout (place de la république), et réunion pour la rédaction d'un tract pour la manifestation du 28 avril.
- Soutien à l'occupation du Thêatre du Nord par les interluttants le 25 avril et soutien à leurs actions la matinée du 28 avril.
- Confection d'une banderole et de pancartes, participation à la manifestation du 28 Avril en tant que collectif, rapide présentation du collectif à l'AG inter-luttants qui s'est tenue devant le Théâtre du Nord en fin d'après-midi.
- Participation au cortège du 1er Mai en tant que collectif. Tracts à faire et à distribuer.
- Accord de principe sur les prblèmes de la COMUE (Communauté des universités et établissements Lille nord de France) :
- Participation à la manifestation du 3 Mai (mardi) contre la réforme du code du travail, en tant que collectif.
L'AG s'est bien plutôt déroulée, mais les tours de parole doivent être respectés par les participants, c'était le cas aux premières AG et cela permettra à tou.te.s de s'exprimer.
A l'intérieur du collectif, nous avons tout à gagner à partager nos expériences, et nos lectures des diverses politiques. Comment? A-t-on besoin d'un cadre pour cela? A traiter à la prochaine AG.
Les universités ont obligation depuis plusieurs années de faire remonter leurs bilans sociaux au ministère, mais leur forme n'est pas normalisée. La ministère ne fait aucun travail de centralisation et de lisibilité des données, et se cache derrière l'autonomie des universités. D'où la difficulté de chiffrer précisément les heures effectuées par des vacataires, par des précaires en général, ou même de compter le nombre de précaires. Des études existent ou sont en cours, notamment sur les précaires en sciences politiques, les résultats sont ou seront à partager et communiquer dans la mesure du possible. Le Snesup s'est préoccupé de la précarité enseignante dans le supérieur, il a sûrement des choses à partager également. Question des “contrats pourris” : Oui, on contractualise les gens, mais on les paye au lance-pierre et on les surcharge de responsabilités.
Une tentative peu probante a été faite de demander aux nouveaux, en tout début d'AG, leur impression sur le collectif, ses actions et ses revendications, afin d'avoir un regard extérieur. Si on veut garder l'idée, il faut le faire mieux, de manière à ne pas stigmatiser d'entrée de jeu les nouveaux.
Le collectif et Sciences Debout sont deux entités différentes, mais qui, pour des raisons évidentes, se rencontrent, à divers niveaux. Lors des évènements Sciences Debout, distribution de tracts du collectif. Inversement, il paraît pertinent que le collectif soit tenu au courant, par exemple lors des AG, des actions envisagées par Sciences Debout, et que les membres du collectif soient encouragés à participer à Sciences Debout.